L’Office fédéral de la santé publique a constaté depuis 2009 une légère mais réjouissante tendance à la baisse du nombre de nouveaux diagnostics. En revanche, l’incidence d’autres infectons sexuellement transmissibles, telles que la gonorrhée ou la syphilis, a nettement augmenté au cours de ces dernières années. Il semblerait que le VIH ait, pour beaucoup de personnes, perdu son caractère terrifiant du fait de l’existence de traitements hautement efficaces et qu’ainsi, les comportements sexuels à risque soient en augmentation.